
25 ans déjà . C'était en 1984 , la "bête" est arrivée comme la révolution de la décennie , avec les surgelés et le baladeur cassette ... Si les quadragénaires s'en souviennent encore , ils peineront néanmoins à "recapturer" l'objet de leur fantasme d'"immortalisation" .
La raison de cette disparition ? Leur progéniture de 12 ans se l'est déjà réapproprié cet appareil , et ce sans même éplucher la notice que ses parents ont mis des heures à compulser , c'est bien connu : les jeunes ont l'esprit vif . La mode n'est qu'une pendule , il y a l'heure du polaroid ( aujourd'hui ressuscité avec sa version N°2 numérique ) et l'heure des réflex taille tyrannosaure .
Et le lomo dans tout ça ? Eternel, atemporel même . Tantôt vintage , tantôt au summum de la hypitude , le célèbre appareil "Diana F" vient d'être réedité chez Colette, et attire les amateurs de photos aux filtres jaunis mais dont l'effet reste incomparable. La célèbre marque Lomography ne semble pas avoir vieilli d'un poil , et affiche comme une seconde jeunesse par le dépoussiérage des grands noms qui ont fait son succès . Parmis ces best-sellers , le Lomo LCA , qui saisit le sujet comme par un oeil de boeuf ou encore le Olga , qui donne un cachet grisâtre à vos images et apporte une note mélancolique des plus esthétiques .
En férue de photo , il fallait que j'aille approcher le St Graal de plus près . Rendez-vous donc chez Colette , où une pile de Diana F me fait timidement de l'oeil , tel des joujous de milliardaires . Une jeune femme tout droit sortie d'un film des années 50 ( robe longue noire à pois blancs , cran capillaire et lèvres rougeoyantes compris) me renseigne avec joie sur l'appareil . En parfaite vendeuse du concept store parisien , elle a elle-même un Diana et a d'ailleurs apporté un album de ses meilleures photos . En définitive, il semble intéressant pour obtenir une qualité unique d'utiliser ce type d'appareil , mais aujourd'hui les logiciels de retouche n'auraient-ils pas pris la relève ? Une triste vérité , soit , mais qu'on ne peut négliger . D'autre part , le prix des pellicules est assez peu réjouissant et le nombre de labos développant vos photos extrêmement limités . Voilà donc la condition de cette résurrection , c'est toute l'époque et ses contraintes qui refont surface : pas de développement chez soi , des ratés et surtout un coût réservé à une classe sociale privilégiée . A quant l'ère du rétro-cheap ?
En attendant de brillantes inventions ont été pensées par des internautes eux aussi mordus de l'objectif dont Poladroid qui reprend toutes les caractéristiques du Polaroid : développement en fondu , bruitages ... tout y est !
La raison de cette disparition ? Leur progéniture de 12 ans se l'est déjà réapproprié cet appareil , et ce sans même éplucher la notice que ses parents ont mis des heures à compulser , c'est bien connu : les jeunes ont l'esprit vif . La mode n'est qu'une pendule , il y a l'heure du polaroid ( aujourd'hui ressuscité avec sa version N°2 numérique ) et l'heure des réflex taille tyrannosaure .
Et le lomo dans tout ça ? Eternel, atemporel même . Tantôt vintage , tantôt au summum de la hypitude , le célèbre appareil "Diana F" vient d'être réedité chez Colette, et attire les amateurs de photos aux filtres jaunis mais dont l'effet reste incomparable. La célèbre marque Lomography ne semble pas avoir vieilli d'un poil , et affiche comme une seconde jeunesse par le dépoussiérage des grands noms qui ont fait son succès . Parmis ces best-sellers , le Lomo LCA , qui saisit le sujet comme par un oeil de boeuf ou encore le Olga , qui donne un cachet grisâtre à vos images et apporte une note mélancolique des plus esthétiques .
En férue de photo , il fallait que j'aille approcher le St Graal de plus près . Rendez-vous donc chez Colette , où une pile de Diana F me fait timidement de l'oeil , tel des joujous de milliardaires . Une jeune femme tout droit sortie d'un film des années 50 ( robe longue noire à pois blancs , cran capillaire et lèvres rougeoyantes compris) me renseigne avec joie sur l'appareil . En parfaite vendeuse du concept store parisien , elle a elle-même un Diana et a d'ailleurs apporté un album de ses meilleures photos . En définitive, il semble intéressant pour obtenir une qualité unique d'utiliser ce type d'appareil , mais aujourd'hui les logiciels de retouche n'auraient-ils pas pris la relève ? Une triste vérité , soit , mais qu'on ne peut négliger . D'autre part , le prix des pellicules est assez peu réjouissant et le nombre de labos développant vos photos extrêmement limités . Voilà donc la condition de cette résurrection , c'est toute l'époque et ses contraintes qui refont surface : pas de développement chez soi , des ratés et surtout un coût réservé à une classe sociale privilégiée . A quant l'ère du rétro-cheap ?
En attendant de brillantes inventions ont été pensées par des internautes eux aussi mordus de l'objectif dont Poladroid qui reprend toutes les caractéristiques du Polaroid : développement en fondu , bruitages ... tout y est !
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